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Pourquoi certifier l’agilité digitale des salariés ?

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Aujourd’hui, la transformation digitale est au cœur des stratégies d’évolution des entreprises. Pour faire de ces changements un vecteur de performance, ces dernières doivent accompagner voire former leurs collaborateurs aux mécanismes digitaux. Un changement de paradigme qui suppose un travail d’évaluation et de certification, afin de s’assurer de l’agilité digitale de ses équipes

Pourquoi certifier l’agilité digitale des salariés ? - © D.R.
Pourquoi certifier l’agilité digitale des salariés ? - © D.R.

L’agilité digitale est une donnée quantifiable via des tests sur des référentiels dont le DigComp, référentiel européen en la matière. Afin de prendre le virage du digital, ISOGRAD propose un test, dans la gamme TOSA, dont les questions évoluent en fonction de chaque réponse du candidat. « Quand on utilise des tests adaptatifs comme le TOSA, il est possible de fournir une préconisation de formation spécifique au collaborateur, en tenant compte de ses acquis », explique Marc Alperovitch, président d’ISOGRAD.  Aujourd’hui, ce sont plus de 1 300 organismes de formation qui préparent et font passer le TOSA. Cette évaluation est aussi un outil pour les RH lors du processus de recrutement. « En fonction du métier, l’évaluation sera soit un indicateur des formations à mettre en place lorsque le salarié rejoindra la société, soit un critère de sélection », précise-t-il.

La certification, une motivation pour se former

Une des difficultés lors de la mise en place de programmes de formation à grande échelle, est d’obtenir l’adhésion des salariés. L’une des réponses à cette situation est la certification. « C’est un facteur de motivation pour les salariés. Elle apporte un attrait supplémentaire à la formation. S’il est certifié, le collaborateur aura renforcé son employabilité, aussi bien pour des évolutions internes qu’externes  », explique Marc Alperovitch. Ce choix n’est pas anodin. « Il y a toujours un compromis, pour les entreprises, entre des certifications reconnues comme le TOSA, ou le développement de leur propre certification. La solution que nous proposons, est une certification avec deux composantes : le TOSA officiel « DigComp » sur les compétences digitales et un module sur les outils ou les compétences spécifiques à l’entreprise », précise le dirigeant.

Les acteurs de la formation, organismes et certificateurs - dont ISOGRAD - tendent à une harmonisation européenne grâce au référentiel DigComp apportant ainsi des réponses efficaces aux entreprises qui souhaitent évaluer ou certifier les compétences de leurs candidats ou salariés. Toutefois, les compétences digitales définies par ce référentiel ne sont pas toutes corrélées les unes aux autres. « Représenter l’ensemble des compétences digitales par un score unique est un exercice délicat. L’enjeu ici est donc de proposer une solution méthodologiquement robuste et fiable. A ce jour, nous pouvons dire que c’est un pari réussi pour ISOGRAD  », affirme Marc Alperovitch.

En savoir plus : www.isograd.com