Pourquoi la simulation de dialogue reste le meilleur moyen de se former aux compétences managériales ?
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Retour d’expérience d’un utilisateur des simulations Daesign*
Je m’appelle Erwin, je suis manager. J’ai en charge une équipe d’une dizaine de collaborateurs… autant de profils à gérer au quotidien, autant de projets professionnels à conduire sur la durée. Je dois souvent faire face à des situations complexes mais j’ai très peu de temps pour y répondre avec disponibilité, écoute, engagement et efficacité… Et pour tout dire j’ai à peine le temps de m’occuper de moi-même… alors me former…
J’ai malgré tout fini par trouver la formule qui me convient : les simulations de dialogues tels que l’entretien professionnel, l’entretien annuel, la gestion de conflit… Et ça me convient parce que :
L’expérience est prenante et je peux la partager avec d’autres utilisateurs. J’ai du plaisir à jouer et ça m’aide à progresser. Le jeu est accessible en ligne, et donc consultable n’importe où, n’importe quand. Je peux jouer en sessions courtes, compatibles avec mon agenda chargé. Les compétences comportementales sont au cœur de la pédagogie. Je les expérimente concrètement, ce qu’aucun autre outil ne m’a permis de faire jusqu’à présent. Tout est très visuel, graphique, les résultats en particulier mais aussi la théorie, et j’apprécie à deux niveaux : je me les approprie plus vite et bien mieux.
Daesign a lancé les premières simulations de dialogues et de situations de management il y a maintenant une dizaine d’années. Elles sont vite devenues un « genre » à part entière, et restent aujourd’hui un moyen unique de se former avec plaisir et intelligence, en phase avec les nouveaux usages. Elles participent d’un apprentissage hybride où forme et fond se diversifient et se mélangent pour offrir le meilleur du réalisme et de l’efficacité.
6 principes les caractérisent et se combinent pour une plus grande efficacité : le narratif, l’immersif, l’ubiquité, le butinage, le comportemental et la data visualisation.
Le narratif irrigue aujourd’hui toutes les sphères de notre réalité. On assiste à une vraie mise en histoire du monde ; chacun est invité à se raconter que ce soit au travers des réseaux sociaux, de sa relation aux marques, et même dans sa vie professionnelle…
Les simulations le permettent également. Très scénarisées, elles captivent et engagent, provoquent immédiatement l’empathie. Mais ce n’est pas tout, il est aussi possible de publier ses résultats et son débriefing, et de recevoir en retour contributions et échanges d’expériences pour un plus grand bénéfice.
Dans son DesignLab**, Daesign, à l’écoute des signaux faibles, élabore et expérimente les prochaines évolutions ; pour enrichir son expérience, le joueur peut déjà parler directement avec les personnages virtuels, filmer ses échanges et les partager avec sa communauté.
L’immersif : engagement et plaisir… C’est la qualité de l’expérience vécue qui donne envie de la renouveler. Les évolutions technologiques de ces dernières années ont largement contribué à transporter les utilisateurs dans de nouvelles réalités et faciliter des actes tels que l’achat, l’engagement, l’apprentissage… Transposées sur le plan de l’apprentissage, la qualité graphique, les animations, le design sonore sont des atouts pour apprendre mais la mécanique de jeu joue aussi un rôle clé.
Pour renforcer le niveau d’engagement dans les simulations, nous avons donné une meilleure visibilité sur les objectifs pédagogiques, introduit un feedback continu et créé des indicateurs d’humeur, de statut et de score. Le joueur expérimente les humeurs de son interlocuteur, les réactions consécutives à ses actions, et mesure en continu l’incidence de ses choix.
Dans le DesignLab, il y fait équipe avec ses collègues, ses pairs, des experts…, entre dans le décor avec un visiocasque, pilote les postures non verbales de son avatar et en mesure les effets…
L’ubiquité : le monde connecté nous projette dans l’ici et l’ailleurs en permanence, et inversement nous cherchons à occuper chaque moment « libre »… Dans une journée bien remplie, chaque minute compte, et pouvoir se former dans les moments creux peut s’avérer crucial.
Les simulations se jouent en ligne, à distance et sur tout type de supports. Le joueur peut commencer un dialogue au bureau, prendre le train pour se rendre à un rendez-vous et poursuivre son apprentissage sur son mobile en récupérant, par exemple, un débriefing personnalisé à l’aide d’un QR Code… C’est une façon de changer de point de vue et d’analyser avec une experte virtuelle les tenants et aboutissants de sa performance.
Dans le DesignLab, il partage ce débriefing sur les réseaux sociaux, et s’enrichit des commentaires de sa communauté ainsi que des débriefings échangés par les autres joueurs.
Le butinage : une façon de consommer autrement… La connexion « always on », les notifications intrusives et les sollicitations permanentes réduisent le temps de concentration alloué à une même tâche ; telle une abeille, l’être humain passe à autre chose, happé par le flux du travail, des correspondances, des urgences… La disponibilité diminue alors que dans le même temps les tâches à accomplir deviennent plus nombreuses. D’où la nécessité de penser la pédagogie autrement.
Nos simulations sont chapitrées et permettent un aller-retour entre les différentes parties du dialogue. Le système mémorise la progression du joueur. Les chapitres, découpés de façon homogène, facilitent le repérage et la reprise du jeu.
Le comportemental : une étude récente publiée par Ernst & Young à propos de « La Révolution des métiers », souligne que « dans quelques années, la réalité vécue par un collaborateur aura radicalement changé, notamment sous la pression de la technologie et de la globalisation. […] l’importance accordée par les recruteurs aux compétences comportementales devient centrale ».
Le jeu d’acteurs des personnages virtuels s’est affiné au cours du temps pour restituer aujourd’hui leurs humeurs et leur état d’esprit dans chaque geste ou intonation. A ce feedback réaliste et en temps réel, nous avons ajouté des jauges et bulles d’humeur qui permettent à l’utilisateur de mieux apprécier l’impact des postures et des choix qu’il adopte.
Le joueur prend conscience à travers la pratique de la nécessité d’adopter un comportement adéquat pour servir son discours et ses objectifs, qu’ils soient de négociation, d’argumentation, d’arbitrage, de gestion de conflit, ou encore de prise de décision.
Dans le DesignLab, il y enregistre postures et intonations de voix pour les partager et les faire évaluer, discuter et commenter au sein de sa communauté d’apprentissage.
La data-visualisation : visualiser pour comprendre et appréhender des notions qui, à l’état brut, ne sont pas ou peu assimilables pour le cerveau humain… On ne compte plus les représentations graphiques où les chiffres et les données du monde sont rendus visibles et de fait, lisibles. Leur esthétique fascine mais c’est aussi un véhicule puissant de compréhension et d’apprentissage.
La mise en forme visuelle et graphique de nos débriefings les rend plus efficaces et accroît leur impact ; nous créons des infographies qui aident à penser et à s’approprier le corpus ; nous mettons en place des indicateurs de performance basés sur des critères qualitatifs qui complètent les données quantitatives.
Le joueur se représente sa progression et les points sur lesquels il a encore des marges de progrès. On peut parler de « qualified-self », une approche qui complète avantageusement les données quantitatives mesurées par ailleurs.
Les simulations sont le plus court chemin pour augmenter son potentiel managérial. Leurs atouts conviennent à Erwin, tout comme ils conviendront à vos collaborateurs et vous-même.
Avec Daesign, ouvrez grand votre horizon professionnel.
*Ce témoignage, fictif, a été compilé à partir de retours d’utilisateurs réels.
**DesignLab Daesign : Cellule R&D d’expérimentation et de création de solutions pour le Digital Learning de demain