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3 conseils pour éviter une expérience candidat décevante

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Sans de bons processus soigneusement pensés, le recrutement peut être une véritable source de stress et d’insatisfaction pour vos équipes RH comme pour vos candidats. À l’heure où la tendance est aux anglicismes anxiogènes pour nommer chaque phénomène RH (ghosting, quiet quitting ou rage apply), voici quelques conseils pour éviter les mauvaises expériences candidats.

iCIMS : 3 conseils pour éviter une expérience candidat décevante - © Getty Images Abel Mitjà Varela
iCIMS : 3 conseils pour éviter une expérience candidat décevante - © Getty Images Abel Mitjà Varela

Les candidats qui abandonnent ou comment attirer et retenir l’attention sur votre site carrière

Combien de potentiels talents visitent votre site carrière tous les jours mais rebroussent chemin faute d’avoir trouvé rapidement la bonne offre  ? Un KPI difficile à évaluer mais le problème n’est pas impossible à résoudre. L’engagement des candidats dès leur arrivée sur votre site carrière est une des solutions.

Comment  ? Voici deux exemples :

  • la mise en place d’un chatbot pourrait guider les candidats vers une offre d’emploi pertinente ou leur proposer de déposer une candidature spontanée en seulement quelques clics.
  • la possibilité d’intégrer des vidéos sur votre site carrière ou sur vos offres. Cette solution innovante, dans l’ère du temps, permet d’augmenter le temps passé sur un site carrière de 37 % et d’accroître de 34 % le taux de conversion des offres.

Les candidats qui disparaissent ou comment ne pas ghoster ou se faire ghoster

«  Ghoster  » - encore un anglicisme - signifie ne plus donner de nouvelles du jour au lendemain sans explication. Une pratique pour le moins courante chez les candidats mais aussi chez certains recruteurs qui, noyés sous le flot des candidatures, ne peuvent assurer un retour systématique à tous les candidats.

  • Selon le dernier baromètre iCIMS-HEC, plus de 50 % des entreprises européennes du Fortune 500 n’avaient toujours pas répondu 15 jours après l’envoi d’une candidature.
  • Côté candidats, les statistiques ne sont pas plus reluisantes. Selon une étude Indeed de 2019, 83 % des recruteurs s’étaient déjà fait “ghoster”.

Pourtant, c’est bien du côté recruteur que les conséquences sont les plus dramatiques. Répondre à un candidat constitue un geste essentiel d’une bonne marque employeur  : un candidat ne postulera plus jamais dans une entreprise qui l’aura «  ghosté  » voire il diffusera son mécontentement sur les réseaux sociaux.

  • Prenez le temps d’expliquer les étapes du recrutement sur votre site carrière ;
  • Informez les candidats dès que leur candidature a été reçue ;
  • indiquez un délai de traitement raisonnable que vous serez en mesure de tenir évidement.

Vous pensez ne pas avoir le temps ? Automatiser à minima une réponse simple et basique pour prendre en considération chaque candidature.

Les candidats volatiles ou quand l’engagement devient la clé

Selon la société Gallup, seuls 15 % des employés se sentent engagés dans leur travail au niveau européen. Ce qui signifie que 85 % des employés viennent au bureau tous les jours pour travailler et recevoir un salaire. Rien de plus.

En France, seuls 6 % affirment être très impliqués et enthousiasmés par leurs missions quotidiennes. Un peu sévère sans doute, mais il semblerait que l’intérêt pour l’entreprise en tant que telle se tarisse.

Pour éviter le quiet quitting (lire notre précédent article ici),

  • Assurez-vous dès le recrutement que le profil retenu correspond tant sur les hard skills que sur les soft skills et que le projet l’enthousiasme vraiment.
  • Puis poursuivez l’engagement jusqu’à l’intégration du collaborateur avec un parcours d’onboarding adéquate.