Les courts-métrages décalés de Sapiance RH
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Le cabinet de recrutement Sapiance RH lance une campagne de communication originale sur le recrutement. Quatre vidéos humoristiques sur ce que les recruteurs endurent au quotidien circulent sur Internet.
Le but : dépoussiérer l’image des cabinets de recrutement et des chasseurs de tête. L’arme : le court-métrage. A l’origine du projet : le cabinet de recrutement Sapiance RH. Quatre vidéos de quelques minutes, chacune présentant une situation de recrutement, sont diffusées avec pour but avoué de faire rire et de créer le buzz.
Le premier spot, montrant un candidat qui prend ses aises avant l’entretien de recrutement, a été diffusé la semaine dernière. Dans le même esprit, les trois leçons suivantes «
Trouver le bon partenaire
« L’idée d’un projet de ce type remonte à plusieurs années, mais nous devions trouver un réalisateur qui comprenne notre métier et notre vision. » Mission accomplie avec Caïn & Abel, l’agence qui a finalement pris le projet en charge. Le premier script a été envoyé à Sapiance RH il y a environ un an. « Ils ont bien compris notre idée et ont très vite saisi les travers auxquels un consultant peut être confronté, cela s’est retrouvé dès le premier projet d’écriture. » En confiance, Sapiance RH a donc laissé Caïn & Abel s’occuper de tout, aussi bien au niveau technique qu’en ce qui concernait le casting. « Nous voulions vraiment faire ça bien, avec des acteurs professionnels, une belle image… Il commence à y avoir sur le Net des vidéos sur les ressources humaines. Notre but était de nous démarquer en faisant quelque chose d’un peu décalé, mais aussi de très bonne qualité. »
Pourquoi avoir choisi le court-métrage ? Tristan Flavigny explique que « cela correspond bien à notre positionnement. Nous essayons d’innover, d’encourager la créativité. » C’est aussi un bon outil pour faire passer le message. En plus d’être disponible sur le site de Sapiance RH et sur les différents réseaux sociaux, les vidéos ont été envoyées aux contacts du cabinet : clients, prospects, et les quelques 35 000 candidats de la CVthèque.
Séverine Dégallaix