Tribune - Des candidats pas si passifs… par Gilles Cavallari
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Ils sont légions sur le marché, même s’ils restent difficiles à identifier. Chaque jour ils développent leur expertise et savoir-faire mais n’ont pas le temps d’en faire la promotion. Moins enclins à enjoliver leur CV et le diffuser en ligne, les échanges avec eux sont souvent très constructifs. Et quand ils choisissent un nouveau challenge professionnel, c’est toujours par adhésion, jamais par dépit
Ces « ils », ce sont ces candidats dits ‘passifs’ ou ‘en veille’. Des professionnels en poste, qui ne ressentent pas suffisamment d’insatisfaction dans leur quotidien pour se poser la question d’un changement de job, mais qu’une opportunité de carrière répondant à leurs envies d’évolution pourrait bien convaincre de faire le grand saut. Ces candidats qui s’ignorent, tout le monde les recherche mais rarement efficacement.
C’est d’ailleurs sur la promesse d’un accès facilité à ce réservoir sous-exploité que s’est bâtit le succès de réseaux professionnels auprès des services RH. Or si les candidats passifs y font bien acte de présence, ils sont beaucoup moins enclin à contribuer à ces réseaux ni même à maintenir leurs informations de carrière à jour. C’est pourtant bien ce volume d’informations qualifiées qui, à l’heure du Big Data, constitue le véritable carburant des outils d’analyse réclamés par les professionnels du recrutement*.
Cette masse critique d’information, c’est sur les réseaux sociaux (généralistes) ou les forums spécialisés que les candidats passifs les diffusent. C’est surtout là qu’ils passent le plus de temps en ligne. C’est donc là qu’il faut aller les chercher, et leur parler. « En France, près d’un utilisateur sur deux utilise Twitter à des fins professionnelles** » confirme le site de micro-blogging. Ils y installent notamment leur veille professionnelle ou parlent de leurs projets en cours. C’est une véritable manne pour les professionnels du recrutement, malheureusement inexploitable pour l’immense majorité d’entre eux qui déclarent manquer de temps*. Seul un traitement automatisé de ces Téraoctets de données permet d’en synthétiser les informations vraiment utiles.
Sémantique, Big Data… Le choix de la technologie comme réponse aux attentes des recruteurs, Monster l’a toujours fait. Aujourd’hui, Monster accélère et met à leur disposition les solutions les plus abouties du marché, pour faciliter l’identification, la prise de contact et le recrutement de ces candidats dits ‘passifs’, là où ils se trouvent vraiment.
Ainsi Monster Social Job Ads permet aux recruteurs de diffuser automatiquement leurs offres d’emploi de façon ciblée sur les fils Twitter des personnes dont le profil correspond au poste.
Pour ceux qui préfèrent le contact direct, Talent Bin by Monster analyse les milliards d’informations publiées par les professionnels de l’IT sur l’Open Web et permet aux recruteurs d’engager facilement une conversation avec les personnes qui sont en adéquation avec les besoins de l’entreprise.
Chacune de nos solutions innovantes n’a qu’un seul objectif : réduire le temps passé par les équipes RH dans leur approche des professionnels en poste, et maximiser le ROI de leurs actions.
Gilles Cavallari
Directeur General Monster France, Espagne et Belux.
* Etude CXP-Monster, Avril 2013
** lesechos.fr, 12/05/2015